Kipp aimait les gens pour leur propension à l'espérance. Comme les chiens, les humains étaient nés pour espérer.
Mais quiconque mesurait la froide indifférence de la nature, comme faisaient les chiens, n'espérait pas vivre éternellement en ce monde violent.
Il s'agissait plutôt de bâtir un monde meilleur tant qu'on était présent, et de placer ses espoirs en un autre monde, un monde plus beau.