Il est des mondes qui fuient l’homme et des mondes que l’homme fuit. Ce sont souvent les mêmes. Comme si la Nature avait pris conscience de ses propres erreurs et de ses incompatibilités. Comme si elle ne s’ouvrait qu’aux initiés, qu’aux méritants.
Pourtant, il est des instants où, lorsque le temps se met à l’orage, certaines portes dissimulées se révèlent aux regards indiscrets, appelant le promeneur égaré à venir les entrebâiller.
(L'arche)