Elle repensait aux deux jours qui venaient de s'écouler et tentait de toutes ses forces de voir le côté positif de ce gâchis, tentait de comprendre à quel moment les choses avaient dérapé.
KAATHIEB.
Le responsable de l’équipe à Lusaka lui avait envoyé des photos par e-mail. Les lettres sur la poitrine (...) avaient laissé de longues balafres sanguinolentes, comme gravées par un démon enragé.
MENTEUR.
« C'est de l'arabe », avait dit Rajkumar une fois ses recherches terminées.
Comment ?
Comment les musulmans avaient-ils eu vent (...) ?
Il existait certaines possibilités auxquelles elle n'osait même pas penser.