Car les gorilles ne semblent pas disposés à rentrer et restent complètement indifférents aux fruits et autres appâts. Le regard pétillant d'espièglerie, ils font le tour de la cage, l'un boxant les grillages, l'autre secouant les portes, puis finissent par s'installer sur les bancs réservés d'habitude au derrière des humains.
A l'inverse, les humains attendent, accroupis dans la cage...