Que ces heures étaient joyeuses !
Pépère feignait de perdre au bras de fer,
Faisant bouger son biceps et m’apprenant à casser des noix à la force des mains,
A croire que l’hiver ukrainien et les barbelés n’avaient plus de place dans sa mémoire.
La vie omniprésente dans cette maison, avait fait fuir la mort depuis bien longtemps ;
Tellement de vie, d’amour, de douceur !