Diego Kurilo

Il est de notre devoir de découvrir notre intériorité symbolique. Le but de ce livre est d'apporter au lecteur différentes interprétations des logos, des divinités et des religions dont l'expression symbolique à sa genèse dans l'architecture. De nombreuses divinités indo-européennes dans leur essence ont été dépeintes comme des formes et des nombres abstraits, dans le but d'apprendre les mathématiques et les géométries associées à l'universel. Un exemple en est le culte d'Apollon qui était vénéré à Delphes comme un cube, ou le Dieu Min en Égypte, l'une des plus anciennes divinités du monde, qui représentait pour cette idéologie non seulement les nombres, mais aussi la règle du premier maçon. , centre de religions fortement ancrées dans l'architecture. Sur son bras était représentée la coudée égyptienne, règle ou modulor sur laquelle s'organisait l'espace à sacraliser.

"Tu apparais resplendissant à l'horizon du ciel / Ô vivant Aton, créateur de la vie." (Grand hymne à Aton)
Étymologie du prénom Aton: Le mot Aton apparaît dans l'Ancien Empire comme un nom signifiant « disque » et se référant à tout ce qui est plat et circulaire ; le soleil était appelé le "disque du jour" où l'on pensait que Ra résidait. Par analogie, le terme "Aton d'argent, ou Aton d'argent" était parfois utilisé pour désigner la lune. Des illustrations en haut et bas relief d'Aton la montrent avec une surface incurvée, c'est pourquoi le regretté érudit Hugh Nibley a insisté sur le fait qu'une traduction plus correcte serait globe, orbe ou sphère, au lieu de disque. La prononciation du vrai nom d'Aton est Jtn Itn dont la gématrie si l'on prend comme valide la gématrie hébraïque ou grecque tirée d'Égypte son résultat est 360.

La pertinence de "De Architectura" persiste à travers l'histoire. Imprimé pour la première fois à Rome en 1486 par le frère humaniste Giovanni Sulpicio de Veroli, ce traité est devenu un outil fondamental au Moyen Âge. À la Renaissance, elle constitue un canal privilégié pour les artistes, leur permettant de reproduire les formes architecturales de l'Antiquité gréco-latine. Publié dans de nombreux pays, l'ouvrage reste une source documentaire essentielle, apportant de précieuses informations sur la peinture et la sculpture grecques et romaines. Le célèbre dessin de Léonard de Vinci, « L'Homme de Vitruve », illustrant les proportions humaines, est basé sur des éléments de cette oeuvre et illustre le lien durable entre l'architecture et les arts visuels. Pétrarque, le grand redécouvreur de Vitruve, a contribué de manière significative à la diffusion de son oeuvre, posant ainsi les bases de l'architecture de la Renaissance.

Charles William King était un écrivain britannique et un collectionneur de pierres précieuses anciennes portant des inscriptions magiques. Sa collection fut vendue en raison de ses problèmes de vision et fut présentée en 1881 au Metropolitan Museum of Art de New York. King était reconnu comme l’une des plus grandes autorités en matière de pierres précieuses de l’époque.
Dans The Gnostics and Their Remains (1864, 1887, 2e éd.), King entreprend de montrer que, plutôt que d’être une hérésie occidentale, les origines du gnosticisme se trouvent en Orient, plus précisément dans le bouddhisme. Cette théorie a été adoptée par Blavatsky, qui a soutenu qu'elle était plausible, mais a été rejetée par G. R. S. Mead. Selon Mead, le travail de King « manque de la rigueur d'un spécialiste ».

Il semblerait que lorsque nous nous trouvons dans un état particulier de l'âme, des événements synchrones se produisent, la synchronicité semblerait être un symbole que tout est lié, que tout se passe dans un éternel maintenant mais de manière ordonnée.

Selon Vitruve, la température et l'humidité des salles en forme de dôme pouvaient être régulées au moyen de disques de bronze disposés sous un oculus. Les coupoles étaient particulièrement adaptées aux pièces chaudes des bains circulaires, facilitant un chauffage uniforme des parois. Cependant, son utilisation généralisée n’a pas eu lieu avant le 1er siècle après JC.

Le dragon a la capacité de prendre de nombreuses formes, mais celles-ci sont impénétrables. En général ils l'imaginent avec une tête de cheval, une queue de serpent, de grandes ailes latérales et quatre griffes munies chacune de quatre clous. Le dragon céleste porte les palais des divinités sur son dos et les empêche de tomber à terre ; le dragon divin produit les vents et les pluies, pour le bien de l'humanité ; le dragon terrestre détermine le cours des ruisseaux et des rivières ; le dragon souterrain garde les trésors interdits aux hommes. Les bouddhistes affirment que les dragons ne sont pas moins abondants que les poissons de leurs nombreuses mers concentriques ; quelque part dans l'univers, il y a un chiffre sacré pour exprimer son nombre exact.
Jorge Luis Borges
Le livre des êtres imaginaires

Des ufologues de renommée mondiale comme Jacques Vallée et John Mack, sont aujourd'hui plus intéressés par l'établissement de nouvelles théories sur le comportement de la réalité, "une nouvelle théorie de la réalité ou l'établissement de nouvelles limites de celle-ci", si ce que nous voyons ou définissons comme la réalité est rien de plus qu'un agrégat de symboles organisés par notre conscience et totalement archétypaux, qui lors d'un événement de type OVNI est affecté, créant une perturbation dans notre psychisme.

« J'ai abandonné l'hypothèse extraterrestre en 1967 lorsque mes enquêtes de terrain ont révélé un chevauchement surprenant entre les phénomènes psychiques et les ovnis.. Les objets et les apparitions n'ont pas nécessairement leurs origines sur une autre planète et peuvent même ne pas exister en tant que constructions permanentes du sujet. Nous sommes plus susceptibles de voir ce que nous voulons voir et d'interpréter ces visions conformément à nos croyances contemporaines." —John A. Quille