Comment en société, cet être passionné, voué à un sacerdoce, pourrait-il être ce que les jeunes filles bien élevées sont priées d'être : dociles, exquises, décoratives, de petits caniches de salon. Souvent sombre ou acerbe, peut-être parce que le temps consacré au monde est pour elle du temps perdu, Berthe ne s'épanouit que dans la compagnie des artistes. (p. 68)