Après le déjeuner, Onno, Carsten et moi retournâmes au bistrot. Toujours aucune trace de mon père ni de Kalli. Marlène était dans son bureau en train d'organiser la livraison des meubles prévue pour le lendemain. Onno alluma la radio et Carsten monta sur l'échelle au son de "Je me cherche un cow-boy" de Gitte Haening. Je décrétai deux années d'embargo sur la variété allemande, avant de tourner le dos aux autres pour rédiger un SMS.