« Après la guerre ce sera comme ça », songea-t-il. C’est-à-dire comme ces heureux mois d’universités d’été, de débats fraternels, de discussions aimables, ces échanges élevés, riches d’espoirs, d’enthousiasme et de promesses. A quoi servait cette guerre sinon à créer « ça », un monde d’amitié et de camaraderie généreuse et de filles tout aussi généreuses, parmi lesquelles se trouverait sa petite amis, la seule qui comptait...
(p. 246, “Un Enfant de l’amour”).