Que ce pays était beau !
Les immenses espaces verdoyants étaient, dans le lointain, balayés par les averses et assombris, ici et là, par les ombres mouvantes de nuages violets ; plus près, une petite colline s’élevait comme une vague. J’éprouvai un sentiment de possession triomphant et irraisonné : puisque j’avais choisi le Devon pour y vivre, il m’appartenait, c’était ma propriété.
Chapitre 7