Les larmes ont jailli, non de douleur cette fois, ni de désolation, mais avec une rage bruyante, dans une plainte presque animale.. je ne savais pas pourquoi je pleurais. Je ne ressentais rien. Toute émotion formulable m'avait quittée, sinon ce besoin de hurler, hurler encore. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, sinon que je pleurais parce qu'il fallait que je pleure, et que j'étais incapable de m'arrêter.