enfin. Je comprenais désormais pourquoi les correspondants de guerre courent vers la bataille, l’attraction irrésistible qu’exerce la proximité de la mort. Cette sensation que le risque, vu à travers un viseur, perd de sa terrifiante réalité. Que l’objectif devient une sorte de bouclier, que derrière lui rien de grave ne peut arriver. Qu’il est un immunisant imparable face au péril.