Les 5 recommandations SFFF de Déborah :
0:36 Blackwing, tome 1 d'Ed McDonald https://www.babelio.com/livres/McDonald-Blackwing-tome-1--La-marque-du-corbeau/1022303
1:28:30 I Kill Giants, de Joe Kelly & Ken Niimura https://www.babelio.com/livres/Kelly-I-kill-Giants/269946
2:16:00 Ça, de Stephen King https://www.babelio.com/livres/King-a-tome-1/696921
3:09:17 Locke & Key, de Joe Hill et Gabriel Rodriguez https://www.babelio.com/livres/Hill-Locke-Key-tome-1--Bienvenue-a-Lovecraft/402988
3:46:00 Rouille, de Floriane Soulas https://www.babelio.com/livres/Soulas-Rouille/1027404
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Mes remerciements perpétuels à ma mère, qui depuis ma plus tendre enfance m’a insufflé ce désir de créer et de raconter des histoires, et à mon père, qui a glissé sa première épée en bois entre les mains de son fils de trois ans. Mon obsession pour les gobelins et les dragons vous a peut-être surpris à l’époque, mais je vous en tiens tous deux pour entièrement responsables.
Quand on publie un livre, on a tendance à récolter tous les lauriers, sauf qu’un roman est un travail d’équipe.
Quand on écrit un livre, on a tendance à récolter seul tous les lauriers, mais un roman représente un effort collectif.
On a souvent peur, quand on n’a pas la conscience tranquille. Y en a qui ont raison de trembler.
La chance a tendance à changer de camp lorsqu’on en abuse.
A l'époque où je portais l'uniforme, le marshal m'avait dit que seules trois sortes de gens s'aventuraient volontairement dans ce territoire maudit : les désespérés, les imbéciles et les corrompus. Les adeptes étaient suffisamment désespérés. J'avais donc réunis un dizaine d'imbéciles corrompus pour me lancer à leurs trousses.
L’oxygène. On n’y pense pas tant qu’on en manque pas.
La vie une succession de nouvelles expériences.
On cherche parfois les fils nous ramenant à notre passé, on les remonte comme le dédale secret d’un labyrinthe. Ces souvenirs dans notre sillage semblent plus simples et suscitent une certaine nostalgie, car toutes les difficultés de l’époque ont été balayées par les années.
Quand on demande à quelqu’un de venir seul, de nuit, c’est soit qu’on prévoit de le tuer, soit qu’on a trop honte d’avouer en pleine lumière qu’on a besoin de quelque chose.