En s’occupant ou en se distrayant suffisamment, on ne se risque jamais sur ce dangereux territoire de l’ennui, du déplaisir et de la peur. Trop de diversions empêchent parfois de mesurer à quel point on est heureux ou malheureux, drôle ou barbant, ce qu’on désire vraiment, ce qu’il nous faut ou ce dont on manque.