A un autre niveau - ni supérieur, ni inférieur ; rien d'autre qu'autre - ce bonheur candide atteignit son paroxysme lorsque Cédric, évoquant son prénom, remarqua que celui commençait et se terminait par la même lettre : un "c", comme dans "consonne". De plus, le "c" est la troisième lettre de l'alphabet et les deux syllabes de son prénom comptent chacune trois lettres. Et encore : quel que fut le sens de la lecture de ce prénom, sa composition restait identique : consonne, voyelle, consonne, consonne, voyelle, consonne.