- Je saisis tes mots, Dotar Sojat, répondit-elle enfin, mais toi, je ne te comprends pas : tu es un mélange bizarre d'enfantillage et de mâle assurance ; tes sentiments sont à la fois nobles et grossiers ; je voudrais seulement pouvoir lire en ton cœur.
- Mais regarde tout simplement à tes pieds, Dejah Thoris : il est là, mon cœur, et il s'y trouve depuis cette nuit à Korad ; il y sera toujours, battant uniquement pour toi, jusqu'à ce que la mort nous sépare.