Certes, le pèlerin tombe et se perd autant que le vagabond, mais il marche avec un idéal. Le ciel vu de la terre, tel est le point de vue qu’il cherche. Au bivouac, lorsque le soir se fait sombre, ses yeux portent vers le ciel scintillant. « Il est grand temps de rallumer les étoiles », disait le poète.