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Critiques de Edouard Kelsey Moore (230)
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Les Suprêmes

Elles sont trois amies depuis le début des années 70. Odette - la baraquée, grand cœur et esprit affirmée-, Clarice - la bavarde aux idées arrêtées sur la société - et Barbara Jean la belle pianiste torturée. Trois copines entourées par leur famille, leurs amies et qui traversent les drames de la vie : cancer, perte d'un enfant, vision de fantômes, alcoolisme, tromperies, ségrégation, injustice, mensonges...

Surnommée Les Suprêmes en hommage aux groupes de musique par Big Earl, le gérant du café snack de leur ville, elles traversent plus de 30 années d'histoire américaine par le prisme de leur vie de famille.

Un roman hommage à l'amitié, à la modestie parfaite des jolies vies, celles qui se déroulent avec foi et conviction dans la confiance de l'autre.

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Les Suprêmes

j'ai adoré de chez "adoré" ! on me dirait qu'un film sortira de ce livre que je ne serais pas étonnée. j'ai passé un moment délicieux.
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Les Suprêmes

Mais oui elles sont sympathiques ces trois quinquagénaires afro-américaines. Et l’histoire n’est pas mal bien que la ségrégation soit un sujet maintes fois traité.

Mais non, je n’ai pas réussi à m’intéresser à leur histoire.

Abandon avant la centième page, c’est rare.

Je ne sais pas pourquoi, peut-être trop de verbiage, un style d’écriture pas original, assez quelconque. Peut-être ai-je eu tort et devrai-je retenter une nouvelle fois, mais pas maintenant



Désolée, j'avais mis par erreur cette critique sur un autre titre

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Les Suprêmes

Amies pour la vie !

Les Suprêmes savent ce que ça veut dire.

Elles sont trois... trois personnalités bien marquées. Il y a celle qui est forte et il y a celle qui est fragile... mais ce n'est pas toujours la même.

Chacune leur tour, elles subissent des épreuves et les deux autres, indéfectiblement, seront là.

Un instant dans les années 60 avec encore tant de ségrégation, puis les voilà plus vieilles, avec des deuils, des maladies.

Elles se soutiennent, s'encouragent, se consolent...

Elles pleurent, elles rient... elles ont cette indestructible amitié !

Avec elles on pleure, on rit aussi... on les aime Les Suprêmes, on ne voudrait pas les quitter !

Ah ! mais chouette... il y a une suite !
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Les Suprêmes

Plainview, Illinois, trois quinquagénaires afro-américaines sont surnommées les suprêmes depuis l'adolescence en référence au groupe de chanteuses.

Toutes les trois sont différentes, fréquentent des églises distinctes.

Odette est la narratrice de certains chapitres. Très ronde (certains disent obèse), elle se croit obligée par sa naissance dans un sycomore (si un cinéaste veut faire un film je serais curieuse de voir l'accouchement) d'être invulnérable. Elle épouse James avec qui elle a trois enfants et n'a jamais à le regretter. Particularité, elle voit et converse avec les morts.

Clarice a été la première noire à naître dans un hôpital jusqu'alors réservé aux blancs. Amoureuse depuis toujours de Richmond, elle l'épouse bien qu'il soit coureur de jupons et renonce à une carrière prometteuse de pianiste mais pas à la pratique du piano qui est omniprésent dans le roman. Ils ont quatre enfants.

Bientôt se joint à elles Barbara Jean, fille maltraitée par sa mère puis après la mort de celle-ci par son presque beau-père. Sa mère, en route pour l'hôpital, lui donne naissance sur le canapé d'une maison. Très claire de peau et très belle, elle attire tous les hommes. Amoureuse d'un blanc, ce qui est impossible dans cette petite ville, et enceinte de lui elle épouse Lester aussi clair de peau qu'elle mais plus agé. La poisse la poursuivant son fils Adam est tué volontairement par un chauffard.

Il leur arrive bien des aléas auxquels elles font toujours face avec solidarité et complicité.



Je ne sais si c'est un grand roman mais il fait passer un bon moment. J'ai spécialement aimé Odette et sa familiarité avec les morts parmi lesquels Eléonore Roosevelt dont le portrait est savoureux.



Je serai heureuse de lire bientôt leurs nouvelles aventures.



Challenge USA Indiana



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Les Suprêmes

J'ai découvert ce roman un peu par hasard lors d'une promenade à Paris.



Ayant pour habitude d'apprécier les éditions Actes Sud, je savais ne pas trop prendre de risque à découvrir ce récit.



Je ne me suis pas trompée, ce fut une véritable rencontre, pleine de magique, de rires et de larmes parfois, de douceur et d'espoir.



J'ai adoré faire la connaissance d'Odette, Barbara Jane et Clarice, toutes les trois m'ont accompagnée durant toute la durée de ma lecture, elles étaient toujours un peu avec moi et c'est comme si je les entendais parfois par-dessus mon épaule. Leurs maris, leurs amis et leurs familles jamais bien loin, tous les personnages de ce roman sont un peu des héros à leur façon.



S'il n'y avait qu'un adjectif pour décrire cette histoire, ce serait celui-ci : lumineuse. Véritablement, cette histoire est un puits de lumière.
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Les Suprêmes

Je suis très vite rentrer dans l'histoire, les trois personnages principales sont attachantes, on a envie de connaître leurs histoires.

On les retrouve, le plus souvent le dimanche au restaurant, où les souvenirs reviennent, c'est ainsi que l'on apprends le parcours de chacune.

Leur présent aussi m' a plu car malgré les tourments que la vie leur a apportés, elles restent fortes, avec cette pointe d'humour afro-américains que j'adore.

J'ai refermé ce livre avec regret, je serais bien restée plus longtemps en leurs compagnies. Un vrai coup de cœur.

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Les Suprêmes

Ce livre est un antidépresseur en papier à prescrire tous les jours sans modération. Une superbe et utopique histoire d’amitié entre trois femmes quinquas, traversée par des décennies, l’histoire du pays et leur vie, loin d’être parfaite. Bizarrement j’ai beaucoup ricané en pensant à deux amies d’enfance, la vie nous a séparé puis permis de nous retrouver, virtuellement. Bref, je ne sais toujours pas “parler” d’un livre que j’ai adoré ! Odette, narratrice intermittente de cette histoire apprend qu’elle a un cancer. Cela faisait quelques temps qu’elle mettait ses bouffées de chaleur sur une éventuelle ménopause, le fait de voir le fantôme de sa mère aussi. Mère bien fantasque du temps de son vivant avec ses plantes médicinales qu’elle fumait. Rien de tel pour plonger dans le passé et se souvenir du début de son amitié avec Clarice et Barbara Jean. Trois personnalités très différentes, complémentaires avec un mot, un sentiment en commun : le respect. Beaucoup de fous rire au cours de ma lecture, une bouffée de légèreté, malgré le thème, je peux partir travailler le sourire jusqu’aux oreilles en repensant à la mort, ratée, choisie par Odette. Une histoire de résilience avec une amélioration certaine du destin, apportée par les protagonistes, le tout est de prendre la vie avec le sourire.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Les Suprêmes

Roman historique retraçant le parcours et l'amitié de trois femmes afro-américaines dans les années 60.



J'ai beaucoup aimé ce roman, avec parfois certaines longueurs mais finalement utile à l'histoire. Odette est mon personnage préféré avec son audace et sa douceur, j'aime particulièrement son couple avec James et les apparitions de sa mère et d'Eleanor Roosevelt. Clarice était plus complexe à cerner mais finalement les décisions qu'elle finit par prendre son logique et prouve que c'est une femme plus forte qu'elle n'y paraît. Quand à Barbara Jean, son parcours est dure et triste, son histoire d'amour qui semble être un gâchis finit par trouver un sens.



Des destins qui s'entremêlent, des secrets et des vérités. Des femmes qui se soutiennent et qui se disputent, des femmes fortes et indépendantes, dans les années 60 ce n'étaient pas une mince affaire et pourtant elles y parviennent quand même, j'ai beaucoup aimé la tournure du récit, c'était bien écrit. J'ai refermé ce livre avec un petit pincement en me disant que je passerais plus de petits moments au restaurant Chez Earl en compagnie des Suprêmes.
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Les Suprêmes

Un roman nostalgique, celui d'une amitié qui dure depuis plus d'une quarantaine d'années. Chacune de ces 3 femmes, "les suprêmes" solutionnera la cause de sa souffrance au cours du récit. Il est bien sûr question de ségrégation mais si légèrement... Le mot est lâché, ce roman m'a semblé bien trop léger même si la lecture en est sympathique.
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Les Suprêmes

Ce roman raconte l’histoire de trois femmes d'aujourd'hui dont l'amitié date des années 60 et retrace le portait de la société américaine depuis cette période. Chaque rencontre est l'occasion pour elles de se confier leurs petits tracas quotidiens. La maladie, l'abandon, la stigmatisation ont fait ou font encore partie de leur vie mais leur force de résilience leur permettra de faire front encore une fois.

Ces trois portraits qui s'entrecroisent trace l'histoire de la société américaine dans ses bons et ses mauvais moments. Les trois femmes sont amusantes et attachantes, leurs dialogues sont quelque fois humoristiques et souvent plus graves. Une volonté farouche de surmonter les obstacles et une bonne dose d'optimisme achèvent de les rendre très présentes et sympathiques. J'ai adoré ce roman.

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Les Suprêmes

Alors, que dire de ce livre ? Ce n'est pas un roman que je déconseillerais, mais bien qu'il n'ait rien suscité de négatif en moi, j'aurais aussi bien pu ne pas le lire. J'ai trouvé pour ma part l'écriture assez banale, certaines situations plutôt rocam

bolesques, mais le plus embêtant est que je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Ce n'est pourtant pas faute de la part de l'auteur de les avoir bien décrits, mais ils sont restés "de l'encre sur du papier ", complètement immatériels. Jamais je ne les ai rejoints dans leur amitié qui est pourtant belle, je dois l'admettre, car rares sont les amitiés qui résistent aux décennies. D'autre part, je n'ai pas adhéré à la présence des fantômes, pour n'avoir pas très bien vu ce qu'ils portaient au roman. Ceci étant dit, je ne me suis pas vraiment ennuyée. Je ne le recommande ni ne le déconseille.
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Les Suprêmes

Lecture fluide et agréable. Très bonne organisation narrative. les personnages sont bien présentés et nous arrivons facilement à suivre leurs ressentis de manière transparente. Lecture détente, nous apprenant quelques détails sur l’époque. Néanmoins, il manque du peps, des sentiments forts et un trame pour faire languir le lecteur. Sur la fin, j’avais hâte de finir.
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Les Suprêmes

J'ai dévoré ce roman !

A lire absolument : une belle histoire romanesque, écrite avec sensibilité et humour.

Il s'agit de l'histoire d'amitié entre 3 femmes noires, que leurs proches surnomment les suprêmes, comme le célèbre groupe de chanteuses noires américaines. Celle d'Odette, dont la naissance dans un sycomore (et parce qu'elle en est convaincue à force qu'on lui ait dit et redit) lui confèrera une force incroyable pour affronter la vie. Une force qu'elle mettra à profit pour ses amies et enfin pour elle même, lorsqu'elle devra se battre contre un cancer. Celle de Clarice, ex future grande concertiste de piano, dont la carrière ne s'est pas faite pour cause de famille nombreuse, qui de jeune mariée vite trompée par un mari volage, trouvera un jour le moyen de vivre sa vie avec épanouissement et de dicter son bon plaisir à l'homme de sa vie ! Enfin Barbara Jean, brisée par la mort de son seul enfant, fruit d'un amour passionné, et presque interdit, trouvera enfin le chemin de la résilience.

Belle histoire autour de ces 3 femmes, dont l'amitié solide traverse les décennies depuis les années 60 jusqu'aux années 2000. Le roman est construit à l'aide de flash backs qui permettent de comprendre au fur et à mesure leurs liens et leur amitié et leurs histoires. L'écriture est souvent drôle, aidée par une galerie de personnages truculents et parfois farfelus, voire très inattendus (vous verrez bien!).

Une suite serait en cours d'écriture. Espérons qu'elle soit à la hauteur de ce petit bijou !













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Les Suprêmes

Je rejoins le choeur des louanges : ce roman est une perle! N'hésitez pas, lisez le!

Vibrez avec ces trois quinquas tellement vivantes. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. J'aurai bien aimé continuer à les fréquenter ces filles si imparfaites mais si belles!

L'auteur nous livre ici un premier roman fort prometteur.

Vivement un deuxième livre!!!
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Les Suprêmes

Roman un peu loufoque, peuplé de personnages hauts en couleur (sans mauvais jeu de mots), qui parvient à dépeindre la vie d'une petite communauté noire américaine des années 60 au début du 20ème siècle.



Ce n'est pas un roman de revendications. Pas de lutte des classes non plus. Même si l'histoire n'est exempte ni de drames ni de la difficulté de communication entre les noirs et les blancs.



C'est Juste une peinture aigre-douce de la vie, comme si vous entriez de plein pied dans un tableau aux pastels.



Les Suprêmes sont savoureuses, avec un coeur gros comme ça.

En bonus j'ai bien aimé aussi les interventions des morts, dont Mme Roosevelt dont le comportement n'est pas toujours très flatteur. C'est absurde, abracadabrant, mais amené avec tellement de naturel qu'on ne s'en étonne même plus !



Alors pourquoi je n'ai pas accroché plus que ça ?

Je ne sais pas. L'impression d'avancer au ralenti comme un jour de grosse canicule.



Alors faut-il le lire ? Oui. C'est quand même pas mal. Enchaînez ensuite sur un livre qui se passe dans un pays froid pour retrouver un peu de dynamisme.
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Les Suprêmes

Le résumé me tentait beaucoup, mais j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire. Le cadre et le fond de l'histoire sont séduisant, mais quelque chose, le côté un peu loufoque parfois peut-être, m'a laissé un peu en retrait du livre malgré un bon rythme d'écriture et des personnages bien travaillés. Néanmoins, je suis tout de même tentée de lire la suite.
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Les Suprêmes

Traduit par Cloé Tralci

avec la collaboration d'Emmanuelle et de Philippe Aronson



Odette, Clarice et Barbara Jean sont des Afro-américaines cinquantenaires et se sont connues dans les années 60, dans la petite ville de l'Indiana qu'elles ont toujours habité. Elles ont été surnommées "Les suprêmes" par le propriétaire du restaurant où elles avaient l'habitude de se retrouver, Big Earl.

Le récit commence à la première personne du singulier et nous apprend la mort de Big Earl, justement. On comprend que c'est Odette qui s'exprime, en nage dans sa chemise de nuit. Elle pense que ses suées nocturnes sont dues à la ménopause. Sa mère, qui lui annonce la mauvaise nouvelle, a la particularité de voir des fantômes. Puis on apprend qu'en fait, ce n'est pas vraiment sa mère ou plutôt si, mais son fantôme. Vous suivez ?

Deuxième chapitre : c'est toujours Odette qui cause et on apprend qu'elle est née dans un sycomore.... Vous suivez toujours ? (parce que moi, je commençais à trouver ça un peu lourd, tous ces trucs extraordinaires...).

Troisième chapitre : ce n'est plus Odette qui s'exprime, mais un narrateur extérieur.

On apprend que Barbara Jean est portée sur la bouteille et que Clarice endure l'infidélité de son mari. Je vous le fais court parce qu'en vérité le récit est très fragmenté et s'attarde sur tout un tas de détails et surtout on passe son temps à faire des aller-retour dans le passé et le présent.

Je me suis accrochée pendant 200 pages. J'ai cru que j'allais capituler - mais je ne suis pas quelqu'un qui capitule facilement. Et miracle, à cette moitié du roman le récit a commencé à vraiment capter mon attention avec l'assassinat de Martin Luther King et les révélations qui se font jour sur le passé des personnages. Un zeste de racisme, un couple mixte qui renonce de peur d'être harcelé et de devoir s'exiler dans un autre Etat que l'Indiana. Un cancer qui ronge Odette, une tentative pour le soigner (ou du moins atténuer la douleur) avec de la marijruana.

Je pensais que cela allait devenir intéressant...

Bah non ! Il a fallu que ça retombe comme un soufflet. Parce qu'il y a trop de bavardages, de détails de pistes ouvertes et pas forcément suivies. Les détails à outrance ne me gênent pas d'habitude. Sauf qu'ici, entre changement de narrateur sans trop prévenir et changement d'époque sans prévenir non plus, avec les détails en plus, on finit par s'y perdre !!



Je pensais trouver un roman de la trempe de La couleur des sentiments, avec le même genre d'humour et surtout un contexte sociétal bien ancré. Mais ici le roman est d'avantage centré sur la vie conjugale des trois amies. L'évocation du racisme est juste frôlé et les conséquences sur le devenir de ces femmes pas suffisamment appuyé à mon goût.



Il y a tout de même un humour certain, c'est sans doute ce qui fait qu'on termine ce roman de 400 pages dont j'avais beaucoup entendu parler de manière dithyrambique.

L'histoire d'une amitié indéfectible certes, mais j'ai eu du mal à m'attacher à ces trois "suprêmes", même si j'ai quand même un petit faible pour le personnage d'Odette, née dans un sycomore, qui voit des fantômes et se tape un cancer pour couronner le tout. :)



Mais ce roman reste pour moi une vraie déception. Edward Kelsey Moore n'a pas su me faire décoller de mon siège vers de nouveaux horizons. :)


Lien : http://milleetunelecturesdem..
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Les Suprêmes

Amitié et humanité sont au rendez-vous dans ce magnifique roman à mi-chemin entre "La couleur des sentiments" et "Beignets de tomates vertes". Un très bon moment de lecture où l'on prend plaisir à suivre les aventures des 3 héroïnes...
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Les Suprêmes

Odette, Clarisse et Barbara Jean, trois quinquas afro-américaines si inséparables qu’on les surnomme “ Les Suprêmes ”, se retrouvent tous les dimanches dans un restaurant de leur petite ville de l’Indiana pour manger du poulet frit et refaire le monde.

Chacune a sa personnalité et sa manière d’appréhender les difficultés de la vie.



Avis :

Un roman humaniste, drôle et extrêmement attachant sur l’Amérique post-ségrégation, trois figures de femmes inoubliables.
Lien : https://delicesdelivres.go.y..
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