Il a de nouveau porté la main à la poche intérieure de sa veste, a farfouillé et l’a ressortie vide. Il l’a plongée dans une autre poche, puis une autre, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il ait exploré toutes les poches de la veste et du pantalon, après quoi il a encore continué à se palper au cas où il y aurait une déchirure et où l’arme homicide se serait glissée entre l’étoffe et la doublure. Finalement, il a renoncé et, à haute voix mais comme s’il se parlait à lui-même, il s’est exclamé :
– Merde de merde, j’ai laissé le pistolet chez moi !