Au loin, on aperçoit les îles Vestmann.On disait autrefois aux enfants de Tangavik qu'elles étaient si proches les unes des autres qu'on pouvait voler entre elles en se balançant au bout d'une corde. Quand ils jouaient à la marelle, qu'ils appelaient "saute-îles", ils dessinaient les îles dans le sable et bondissaient de l'une à l'autre, persuadés que s'il existait un Tarzan islandais, il vivait aux Vestmann.