Parmi les hommes de notre hémisphère qui vivent de la littérature, je me suis rarement senti très à l’aise. Je les ai méprisés parce que je méprise quelque chose en moi et je crois que ce quelque chose est le papier. Ici, je me suis trouvé soudain parmi des poètes vers lesquels je pouvais lever les yeux parce qu’il n’y avait pas un mot d’eux à lire.