(...) cette créature de moins que rien, sans chair, sans force, sans même un poil convenable avait assez de désir en elle pour que je me sentisse, à sa seule vue, libéré de l’impression de sa misère. Je pense souvent à l’âne de Marrakech. Je me dis qu’il est resté beaucoup de lui lorsque je ne l’ai plus vu. Je souhaite à tous ceux qui souffrent d’avoir son désir dans leur misère.