Ici [au Cambodge], les gens se mesuraient à des problèmes aussi fondamentaux que se nourrir, avoir de quoi s'habiller et un toit pour se protéger des intempéries. Rien de plus. Pas de superflu. Chaque jour se jouait sur leur survie. Et ils n'étaient pas maîtres d'eux-mêmes. Alors que, en Amérique du Nord, souvent on ne savait pas quoi faire de toute cette liberté.