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Critiques de Elsa Blondeau (6)
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À travers ce récit, l’auteure rend hommage à son père.



Le livre est divisé en 6 parties. D’abord, la maladie, où elle revient sur ces trois ans où malheureusement le compte à rebours à commencé, puis le décès de son père.



Un récit intime, où l’auteure se confie sur cette dure épreuve.



La maladie, la souffrance, le combat, la lutte, le soutien d’une famille unie, la tristesse, le deuil, l’incompréhension, l’inquiétude, l’incertitude… Tant de mots qui décrivent ce que l’on retrouve dans le livre, mais également ce que l’on vit tous, malheureusement.



Cela est bien évidement une lecture émouvante et touchante puisque l’on est tous confronté un jour ou l’autre à la mort d’un être cher. J’avoue que je n’aurai pas pu lire ce livre lors d’une période de deuil, car cela aurait été trop difficile pour moi. Il faut avouer que l’on peut vite penser à des choses qui ravivent des douleurs , puisque l’on peut se reconnaître facilement, s’identifier à cette histoire.



Ce récit est une ode à la famille. Effectivement, on ressent le lien fort qui unis cette famille, qui leur permet de combattre ensemble. Ils sont solidaires, ils se soutiennent infailliblement. C’était touchant comme lecture et je suis ravie que ce livre ai aidé l’auteure dans son processus de deuil.
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Elsa Blondeau nous partage dans son 1er livre la douloureuse expérience qu’elle a affronté avec sa famille il y a quelques années ; La maladie puis le décès de son père.

 

Elle revient sur 3 ans.

3 ans rythmés par les nombreux rdv médicaux, recommandations, examens, biopsies, radios, analyses… bien sûr expliqués en petit chinois ! Mais aussi sur toutes les démarches administratives nécessaires mais très pesantes (mutuelles, dossier MDPH et jt’en passe)… puis l’état qui s’empire, l’enfer des urgences, l’hospitalisation…

3 ans d’un compte à rebours infernal où il a fallu lutter tout en se préparant au pire.

 

3 ans où la vie est comme sur pause…

« Notre vie privée était mise entre parenthèse, et ça, tout le monde le comprenait »

Heureusement, sa famille B, son foyer, est son refuge. Il lui permet d’oublier pour un temps tout le reste, de souffler.

Oui car malgré la peine et l’épuisement, il faut aussi trouver l’énergie pour gérer son autre quotidien ; enfant, boulot, dodo… maintenir le cap.

 

Voir souffrir un proche est une expérience tragique et marquante d’autant plus lorsqu’on se sent baladé et impuissant… C’est surement pourquoi Elsa explique avoir été « le dossier médical de son père », elle a tout suivi, s’est documentée, renseignée, a tenté de comprendre…

 

L’autrice a déversé sur le papier toutes ses émotions ; colère, inquiétudes, sentiment d’injustice, incompréhension, tristesse…

Son récit autobiographique a été écrit avec ses tripes et son cœur.

 

Attention, elle ne veut pas faire pleurer dans les chaumières. Tu verras qu’elle opte parfois même un ton plus léger dans ses réflexions ou anecdotes, par exemple quand elle évoque ses enfants ou l’effet des grossesses sur son corps. J’ai apprécié ses petites « pauses » attendrissantes dans la tumulte de mes sentiments de lectrice.

 

Elsa s’est livrée et j’espère délivrée. Mettre des mots sur cette épreuve et les faire lire est un acte courageux.

 

Bravo et Merci Elsa. Et surtout soyez fière de l’amour, de la solidarité et de la dignité qui se dégage de votre famille.

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Quand on choisit de lire un roman autobiographique, on ne sait jamais vraiment sur quel terrain nous allons nous retrouver. Dans quelle histoire, dans quelle partie de vie intime de l’auteur nous allons pénétrer.

.L’autobiographie c’est chaque fois un tête à tête avec l’auteur. C’est ainsi que je le ressens.

.Décider de publier un roman autobiographique, c’est accepter de livrer à tous une partie de soi, une intimité précieusement gardée, mais qu’il est temps de laisser partir, peut-être parfois pour ôter un poids.

📚 « Tu aurais pu vivre encore un peu » est un roman fort, bouleversant, brut et très rythmé.

Le chronomètre est lancé et chaque jour est compté !

Trois ans c'est tout et rien à la fois...

.Elsa va nous emmener au cœur de la descente aux enfers qu'elle a vécue avec sa famille, lorsque son père sera touché par la maladie.

Une famille forte et soudée, soudainement bousculée.

.Elle nous racontera avec force ces mois difficiles. Des prémisses de la maladie, des doutes, des premiers diagnostics, des premiers traitements, des décisions difficiles, des peurs…

.Car dans la maladie, il y a la souffrance du malade, mais il y aussi la famille.

La famille perdue, démunie, la famille qui a espoir, celle qui doute.

Autour du malade il y a des dommages collatéraux.

.A l’amour d’une fille pour son père se mélange aussi l’incompréhension parfois et la colère.

.C'est un récit bouleversant et passionnant. Les mots sont forts et ont du pouvoir.

Au fil des pages, c'est comme tenir la main d'Elsa et l'accompagner elle, sa mère et sa sœur sur ce chemin chaotique.

.Elsa m’a touchée, par sincérité, et son authenticité dans ses écrits.

C’est un magnifique hommage à son père, une trace aussi qu’elle laisse aussi pour ses enfants, qu’elle a préservé pendant cette période.

.Un témoignage puissant !
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Lorsque la maladie se déclare chez le père d’Elsa Blondeau, c’est un monde qui s’écroule. Mais c’est aussi l’occasion de faire front, en famille. L’auteure va ici nous raconter ces trois ans de combat, de rendez-vous médicaux en hospitalisations, de traitements en examens. Mais aussi les moments d’accalmie, d’espoir, ceux où chacun fait comme si tout allait bien. Jusqu’à l’inéluctable.



Cette lecture est évidemment pleine d’émotions. La sidération, l’espoir, la colère, la peur, la tristesse… vont tour à tour s’emparer d’Elsa Blondeau. C’est aussi pour elle l’occasion d’une magnifique déclaration d’amour à ses parents, à sa sœur, à sa garde rapprochée d’amies.



On sent aussi chez l’auteure la profonde admiration qu’elle éprouve pour sa mère, elle-même atteinte d’une maladie dégénérative, et la complicité qui la lie à sa sœur et à ses amies. Elle met aussi en lumière son besoin de garder à part sa propre vie de famille avec son mari et ses enfants pour pouvoir faire, parfois, une coupure avec la maladie et ses implications.



Ce récit est profondément sincère. Elsa Blondeau ne cache rien des difficultés mais aussi des colères qu’elle éprouve parfois envers son père qui n’applique pas toujours les conseils donnés par le corps médical, ses réticences face aux médecins, ses angoisses aussi.



Et tous ceux qui ont vécu ces moments auprès d’une personne aimée malade savent que ces instants de colère, nés souvent d’un sentiment d’injustice, sont inévitables. Comme ceux qu’on éprouve face à un milieu médical parfois hermétique jusqu’à ce qu’on croise un médecin, une infirmière, un soignant plus empathique.



On sent ici un besoin de déverser ce trop plein de trois années qui ont été difficiles et qui débouchent sur une perte inestimable. Mais qui ont aussi renforcé des liens. C’est un témoignage courageux car honnête et sans fard. Un récit qui touche le lecteur au cœur.

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Au début de ma lecture, j’appréhendais quelque peu ce livre, peut-être était-ce dû aux sujets abordés.

Au fil des chapitres, mes appréhensions se sont levées car l’autrice présente avec authenticité et sincérité les diverses étapes de la maladie de son père.



Ce récit est tendre, vibrant et poignant à la fois : je me suis sentie attachée à cette famille. Malgré la maladie, l’unité de celle-ci n’en sera pas affectée et en sera même renforcée.



Ce récit autobiographique est une ode à la famille et surtout à la vie avec un grand V!

Une belle découverte et un magnifique 1er roman.

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Lorsque la maladie se déclare chez le père d’Elsa Blondeau, c’est un monde qui s’écroule. Mais c’est aussi l’occasion de faire front, en famille. Elsa va donc nous raconter ces trois ans de vie au côté d'une personne malade, le combat qu'il va s'en dégager, cette solidarité mais aussi cette solitude , de rendez-vous médicaux en hospitalisations, de traitements en examens.



Cette lecture à été compliqué pour moi, non pas qu'elle ne m'ai pas plu, bien 1u contraire mais les mots d'elsa ont résonner très fort en moi, me rappelant certain moment de ma vie.



C'est un livre qui sers d'exutoire à Elsa, ou elle confie ses peur, sa colère, son admiration, sa force, ses faiblesses, son amour et surtout la maladie qui rode autour d'elle. Tu la compris ce livre est difficile mais poignant et il m'as permis aussi de me sentir plus libre à la fin de cette lecture car j'ai pu me libéré de certaines larmes encore enfouie.



Elsa a ouvert son cœur, mais aussi son âme à travers son histoire. Elle a su faire de cette difficile épreuve une force et la partager avec des lecteurs, qui soient curieux, dans des épreuves difficiles, ou qui ont besoin de se souvenir. Alors merci Elsa d'avoir posé les mots sur les maux qui t'ont toucher et te touche. Merci pour ces personnes.





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