la faim qui fait tomber les dents, la laideur, l’exploitation, la richesse et la pauvreté, l’ignorance et la stupidité… pour Santina ce ne sont là ni justice ni injustice. Ce sont de simples nécessités inéluctables, dont la raison n’est pas donnée. Elle les accepte parce qu’elles se produisent, et elle les subit sans le moindre doute, comme une conséquence naturelle du fait d’être née.