Les chansons se succèdent. La sueur coule. L’énergie se concentre et se disperse et se concentre encore. Ah ! celle-là, c’est ma préférée. Elle m’emporte, flottant, jusqu’à ce que les vagues d’une centaine de claviers éclatent toutes à la fois, s’écrasent sur mon corps effréné, et me fassent tanguer plus haut, plus haut,
plus haut.