Richard Strauss, par exemple, a été mis à l’index par les Américains pendant quelque temps après la guerre. Gerhart (Muench) l’avait croisé dans les années trente et disait de lui :
« Cet homme ne connaissait que la musique, il aurait mieux fait de fermer sa grande gueule quand il s’agissait de politique. Il n’y comprenait rien. »
(page 28)