Elle ne respire que la vengeance, et il n’est point de forme qu’elle n’emprunte pour trahir ou satisfaire sa rage. Elle est représentée armée de vipères, de torches et de fouets, avec la chevelure entortillée de serpents. »
« Tu vois », disait Victor, bien plus tard (tapotant machinalement l’index contre la couverture du livre ouvert en V). « La vengeance est une chose considérée comme sacrée, même par les dieux, depuis toujours. Et est-ce que ce n’est pas marqué ? Regarde : Les Furies, etc., etc., leur mission ? Punir les parricides. Les parricides, Palma ! »