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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Cette affaire n'avait jamais été élucidée, le tueur jamais retrouvé. Un drame vraiment affreux.
C'était aussi, à cette époque que j'avais rencontré Marie, celle qui deviendrait ma future femme. Elle lisait à la terrasse d'un café, typiquement parisien avec un décor dans le style 1900. Je n'avais pu m'empêcher de l'aborder, elle lisait un journal relatant les faits de ce meurtre atroce. J'aurai pu lui parlé de la pluie et du beau temps, de sa beauté mais non, je voulais une approche plus originale, qui me semblait être plus en accord avec sa personnalité. Je l'avais donc abordé en lui demandant si elle était une grande fan de meurtre sanglant, auquel cas, je pouvais lui en relater quelques uns. Ce qui était totalement faux,  j’espérais d'ailleurs, ne pas être obligé d'en arriver jusque là. Dieu, merci elle n'y tenait pas et avait éclaté de rire devant l'absurdité de mes propos. Cela avait eu pour effet de faire s'accélérer mon cœur de quelques battements supplémentaires.
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Le monde de l'internet rendait fou, on nous manipulait, jouait avec nous, on nous radicalisait par le biais d'informations savamment choisies dans l'unique but de faire du profit. Plus personne n'était capable de penser objectivement. Les propagandes en tout genre faisant la pluie et le beau temps. Et que dire de nos vies, qui pouvaient être détruites du jour au lendemain, par quelqu'un de malveillant mu par la jalousie, la méchanceté ou l'opportunisme. Des individus mal intentionnés pouvaient se faire passer pour vous, on pouvait vous photographier ou vous filmer à votre insu. On pouvait détourner votre identité et vos informations personnelles. On pouvait vous voler, vous escroquer, vous mettre en danger, vous et vos enfants, en vous inscrivant sur des sites ou vous ne mettiez jamais les pieds. Mais que dire également de tous ces pervers toujours plus nombreux, chaque jour qui s'échangeaient des photos, vidéos
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C'était une personne à part, ma femme, elle était belle mais pas comme ces ravissantes potiches, refaites de la tête au pieds, belle pas non plus parce qu'elle était jolie, bien que cela était aussi le cas, mais surtout parce que sa gentillesse et sa joie de vivre irradiait de tout son être, elle resplendissait et tout le monde s'entendait sur cela. Elle possédait une vision idéaliste du monde, elle travaillait pour plusieurs causes humanitaire et organisait frequemment de nombreuses soirées caritatives. Personnalité charmante et charmeuse, j'avais éprouvé un véritable coup de foudre, lorsque je l'avais rencontré et son intelligence, son rire et l'éclat de ses yeux avait finit, par me conquérir totalement.
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Qui aurait pu imaginer, quelques années auparavant que des pays si diamétralement opposés, tant économiquement, que culturellement et religieusement n'en ferait plus qu'un et que comme par magie l'harmonie qui y régnerait en ferait un pays d'exception très prisé pour son entraide, sa tolérance, sa sécurité et sa grande diversité ethnique. Comme si il avait fallu, cette horrible catastrophe pour faire ressortir le meilleur de chaque individu. A croire, qu'il fallait à l'humanité, des guerres épouvantables, des séries d'épidémies et une nouvelle catastrophe nucléaire pour qu'elle finisse par comprendre, qu'envisager le monde uniquement autour de soi, était cruel et inutile.
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"Lorsque l'on apporte son aide à quelqu'un, qui nous fait de la peine ; c'est de la pitié. Lorsque l'on apporte son aide à quelqu'un avec amour ; c'est de la compassion". Je n'avais pu que constater, qu'il n'y avait nul place dans son cœur pour les personnes vénales et malhonnêtes et j'en étais ravi. Elle adorait mettre son temps précieux à la disposition des autres, les aider, les soutenir, les protéger quand, ils en avaient besoin et cela régissait toute sa vie. Elle se méfiait à outrance du genre humain, souvent plus doué pour la violence, l'agressivité et la perversité que pour les qualités vertueuses considérées à tort, par notre société comme des faiblesses.
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Les yeux représentaient les émotions, les sentiments, les sensations, ils étaient le reflet de l’âme. Le meurtrier avait-il eu peur de son regard ? J'avais lu que certains voyaient dans le regard des autres, le reflet de leurs abominations, peut-être, était-ce le cas pour lui. Ou les avaient-ils prit pour une obscure raison, qui m'échappait encore ? Et puis son cœur ? Il avait été subtilisé et ce sans incision, comme si il s'était volatilisé ou n'avait jamais existé. Du jamais vu, même les égyptiens, à l'époque pharaonique, ne le retirait pas aux défunts, car il était considéré comme étant le siège de la vie et des émotions.
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Les organisations tels que le FBI, Europol et Interpol avaient étés dissoutes. Alors arrêter un meurtrier, rendait la tache particulièrement ardue. Les enquêteurs s'étaient refusés à ébruiter l'affaire, de peur de créer des vagues de terreur, au sein de la population et je pensais, que c'était une erreur car le bouche à oreille, nous aurait peut-être permit de trouver des témoins ou de suivre d'autres pistes, plus concluantes, mais je comprenais aussi leur silence, car si avant la catastrophe, annoncer un crime odieux, faisait déjà paniquer les gens, je vous laisse imaginer dans un monde sans meurtre et sans délits.
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On pouvait me reprocher ma lâcheté, certes, mais c'était aussi ma façon à moi, de la protéger, de la tenir éloigner de mes vieux démons. Probablement que ne pas affronter mon passé et mes peurs, une bonne fois pour toute, ne m'aidait pas à me reconstruire pour de bon et qu'à tout moment, je pouvais craquer et me laisser submerger par une grande détresse ou par des pulsions autodestructrices, mais je me refusais à y penser, préférant reléguer, tout cela au fin fond de ma mémoire. Me convaincant que j'avais transcender cela.
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La réalité était bien moins reluisante et tout le monde s'en fichait, que cela soit le pervers sexuel, devant son écran ou les gouvernements n'y changeait rien. Pourtant la traite des êtres humains se devait bien d’être arrêtée et éradiquée non ? On n'avait décemment pas le droit, d'accepter que des femmes et des homosexuels, car oui personne ne parlait de ces derniers, soient victimes de viols et de maltraitance, devant une caméra pour satisfaire les pulsions malsaines de certains individus et ce pour une poignée d'euros.
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La réalité avait peut-être rejoint la fiction. Cette affaire avait défrayé la chronique et j'en avais été très surpris, au vu de la profession de la jeune femme. Comme quoi le sordide faisant bien vendre, on en oubliait, d'un seul coup, les principes pseudo-moralisateur de certains. Le fait est que je savais malheureusement, que dans l'esprit individuel comme collectif, ce genre de femme, ne valait pas la peine, que l'on se préoccupe vraiment d'elle et ce peu importait, ce qu'elle avait vécu. Cela m'attristait beaucoup.
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