Dès l’instant où je me mis à peindre Le petit Garçon
au bord de la falaise, je sus qu’elle serait ma dernière créa-
tion. (...) J’entendais les vagues qui apparaissaient
sous mes pinceaux, je sentais le vent dans les cheveux des
trois personnages. Chaque fois que mon regard se posait
sur la falaise, j’étais pris de vertiges.