Les hommes voulaient toujours quelque chose, ils ne cessaient de tendre la main vers le corps ou vers le coeur. Les herbes et les oiseaux ne voulaient rien de lui. Ils restaient dans leur univers. Il pouvait le traverser, comme on traverse l'eau. Cette eau se refermait derrière lui et ne gardait aucune trace. Et c'est ainsi, sans laisser de trace qu'il voulait désormais s'en aller sur la terre.