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2.75/5 (sur 2 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Nantes , le 29/03/1863
Mort(e) à : Nantes , le 31/05/1915
Biographie :

Étienne Destranges est le nom de plume d'Étienne Louis Augustin Rouillé, musicographe et critique musical.
Dans les années 1880, il adopte son nom de plume, et devient critique musical du Phare de la Loire. En 1888-1889, il est le premier nantais à se rendre à Bayreuth pour découvrir l'œuvre de Richard Wagner, dont il fait la promotion auprès du directeur du théâtre Graslin de l'époque, Marcel Courtonne, qui programme alors l'artiste allemand. En 1890, Destranges est fondateur et devient rédacteur en chef de l'hebdomadaire L'Ouest-Artiste (qui paraît de 1891 à 19223). Il est également rédacteur en chef de Nantes-lyrique (qui paraît de 1876 à 1894).
En 1892, il rencontre Alfred Bruneau (1857-1934). Il se lie d'amitié avec le compositeur et est, par l'intermédiaire de celui-ci, en contact avec le romancier Émile Zola5. Il est l'un des rares critiques musicaux à soutenir le naturalisme musical.
Destranges fait également découvrir les œuvres de César Franck et Claude Debussy, entre autres.
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Source : wikipedia
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Premier ouvrage dramatique de M. Massenet, le Roi de Lahore est, — et restera,— l’un de ses meilleurs. Écrit avec une sincérité qui, malheureusement, tendra plus tard à disparaître à mesure que le compositeur avancera dans sa carrière, pour faire place, presque uniquement, à l’emploi des procédés et à la recherche constante de la faveur du public, ce grand opéra contient de nombreuses belles pages qui devraient lui assurer une place dans le répertoire courant de l’Académie nationale de Musique.
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« La salle, richement décorée, était peinte rouge et or. Elle se composait :
à l'avant-scène, entre deux colonnes dorées, de deux logos, l'une aux armes du roi, l'autre aux armes de la ville; aux premières de douze rangs de loges soutenues par un pilastre représentant Atlas (il n'y avait pas de baignoires) ; aux secondes et troisièmes, des galeries régnantes. Le parterre était debout. L'orchestre n'avait que deux rangs de musiciens. »
De plus, sur la scène même, se trouvaient deux balcons dont les places étaient très recherchées.
D'après le vieux Nantais, il y avait :
« Au rez-de-chaussée, trois cents places réparties entre le parquet, le parterre et les loges grillées ; aux premières loges, deux cents places, cent soixante aux secondes, cent soixante aux troisièmes, où conduisait un escalier de bois. L'orchestre, disposé pour cinquante musiciens, avait sa sortie par le foyer. Les balcons, les banquettes étaient recouverts de fourrures. Un grand café attenait au théâtre de la comédie, comme on disait alors. »
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Le grand opéra — surtout l’opéra historique — est bien mort aujourd’hui. Dans les chapitres qui vont suivre, nous allons assister aux principales étapes de cette longue agonie qui a duré environ vingt-cinq ans, retardant ainsi l’avénement définitif d’une conception plus saine et plus vraie du drame musical.
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L'idée des Troyens fut suggérée à Berlioz par une Allemande , la princesse de Wittgenstein. Le compositeur s'inspira pour son œuvre des 1er, 2e et 4e livres de l'Énéide. La première édition de la partition porte en dédicace : Dico Virgilio. Son ouvrage achevé, Berlioz commença à monter le calvaire du compositeur en quête d'un théâtre. L'Académie de Musique, sur l'ordre de l'Empereur, préféra Tannhœuser aux Troyens, et Berlioz, de ce jour, devint l'ennemi acharné de Wagner, ne comprenant pas que leur cause était la même à tous deux.
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Parmi les poètes de la petite cour du duc de Mercoeur se trouvait un gentilhomme du nom de Nicolas de Montreux, qui signait ses nombreuses productions du pseudonyme-anagramme d'Olenix du Mont-Sacré. C'est à sa plume qu'est duc l'importante pastorale intitulée Arimène, représentée dans la grande salle du Château de Nantes, le 25 février 1596. Malheureusement, si la pièce nous a été conservée dans son intégrité, il n'en a pas été de même de la musique, qui ne nous est pas parvenue.
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