En terminant, si le regard se porte sur la carrière militaire qu'il a parcourue si rapidement, un sentiment doux et triste envahit l’âme; triste, à la pensée que le chemin de la gloire aboutit à la honte; doux, car le spectacle de son dévouement pour le France et pour Jeanne d'Arc, auquel le dévouement et l’héroïsme de tous les siens donnent encore un plus vif éclat, détourne un moment les yeux de la vue de ses crimes.