Les appareils mis au point par monsieur Gaufridus étaient aussi nombreux que variés. On aurait dit qu'il avait étudié tous les moyens de provoquer une douleur susceptible de réveiller un mort. La gamme des procédés commençait par le désagréable [...]. Puis il y avait le douloureux [...]. Enfin, si le corps ne manifestait aucune réaction, on parvenait aux atrocités dont les détails sont parfaitement exposés dans l'ouvrage de monsieur Gaufridus sur le sujet (Mort ou vivant ?), dont il ne demeure que de rares copies à peu près lisibles.