Non seulement tu ne vas pas mettre de couleur mais tu vas encore travailler le noir pendant des années. Tu dois arriver à percevoir que dans le monochrome, dans les variations infinies de l’encre de Chine, tu peux interpréter les mille et une lumières de l’univers. Si tu recours maintenant à la couleur, tu n’iras plus rechercher les possibilités du lavis, la façon dont il accroche la lumière. » (p. 117)