En cette fin des années 1950, le mouvement de protection de la nature, incapable de penser le monde où il habite, incapable de seulement concevoir ce qu'est un rapport de forces, mise tout sur les relations avec les puissants. Déjà, si l'on me permet cette pique. Seulement, cela a continué. Et cela a empiré à mesure que les destructions systématiques des écosystèmes se multipliaient d'un bout à l'autre de la Terre.