J'ai tout tenté : les caprices, la crise de nerfs, la culpabilité - "Tu vas ruiner ma vie, maman, tu ne penses qu'à toi, tu ne m'aimes plus, je ne travaillerai plus, je ne mangerai plus, je ne dormirai plus, je vais demander à la mère d'Inès de m'adopter'' - et même la gentillesse, voyant que rien ne fonctionnait. En vain. Avec Inès, on a beaucoup pleuré. C'est comme si on m'arrachait un bout de moi-même.