LA MÈRE : Si ce n'est pas sa faute à elle, ni la mienne non plus ! Alors c'est la faute à qui ? Ce sont les femmes faibles, fragiles, de mauvaise vie qui jettent leur couronne d'oranger pour prendre un coin de lit chauffé par une autre femme !
(Ella no tiene la culpa, ¡ ni yo ! ¿ Quién la tiene, pues ? ¡ Floja, delicada, mujer de mal dormir es quien tira una corona de azahar para buscar un pedazo de cama calentado por otra mujer !)