Cependant, Ernest Memecsek, secrétaire du Mastic-Club et capitaine de l'armée de la rue Paul, noyé dans le silence éternel, pâle, les paupières closes, reposait sur son lit. Il était désormais évident qu'il n'entendait ni ne voyait plus rien de ce qui se passait autour de lui, puisque des anges étaient venus lui ôter à Ernest Nemecsek l'ouïe et la vue, qu'il les avaient transportées dans les régions dont les douces harmonies et les éblouissantes splendeurs sont précisément réservées aux êtres comme le capitaine Ernest Nemecsek.