"Qu'y a-t-il après la mort, fiston? me demanda-t-il.
- Rien, lui répondis-je. On n'est jamais que quelques souvenirs mangés aux vers. Que tu seras mort, tu vivras encore en moi qui t'aime, dans ma mémoire douloureuse, et après, quand je serai mort à mon tour, tu disparaîtras à jamais.