Le porno (dans son ensemble), bon ou mauvais (et, de nos jours, il est la plupart du temps mauvais), participe de la façon dont nous vivons notre sexualité. C'est-ŕ-dire que la maničre dont nous nous représentons la sexualité participe de la maničre dont nous allons la vivre, et que le porno s'est quelque peu accaparé le marché de la représentation de la sexualité. (Richard Dyer)