La ménopause me jouait de drôles de tours. Un rien m’inquiétait et me déstabilisait. Après les vacances, je consulterais mon médecin afin de réajuster mon thermostat personnel. Je n’en pouvais plus de ces sautes d’humeur et de ces chaleurs envahissantes. Je me trouvais changeante, irritable, pleurnicharde. En attendant, je me raccrochais à ce qui me maintenait en vie: l’amitié indéfectible de mes amis et l’amour de mon chum. C’était une période délicate à traverser, un point, c’est tout.