Le plat qui m'aura paru le plus difficile, le plus marqué, est pourtant le plus fade, le plus neutre, le plus froid, très assimilable : c'est le boudin de chien.
Le boudin de chien, gras, lourd, coloré comme une merde de chien sur un trottoir de Paris, sauvé au gong par l'ail en gros grumeaux, l'ail enfin reconnaissable, l'ail qui couvre, l'ail ou l'oubli par le pire.