C’est un soir de bataille. Dans le crépuscule d’été qui, nonchalamment, déroule ses pourpres et ses ors, les vainqueurs, sans vaine hâte, dépouillent les morts et achèvent les blessés afin de les dépouiller à l’aise. Un blessé, ça ne sait pas se tenir tranquille. Ça bouge, ça gueule, va me dépouiller ça, toi !