Les diasporas n'ont pas toujours bonne presse, car on leur reproche volontiers leurs tendances communautaires, pour ne pas dire communautaristes ou séparatistes. À tort, elles allègent la charge de l'accueil sur les gouvernements et sur la société civile, elles assurent un accueil d'urgence qui mérite d'être apprécié à sa juste mesure, y compris par les pouvoirs publics. (pp.56-57)