La prétention de tout ce monde à qui on ne coupe pas la parole parce qu'on est de l'avenue Victor Hugo ! Les arbres, eux, pour se venger des grilles qu'on leur a posées aux pieds comme des menottes, s'arrangent pour ne jamais faire d'ombre. Mais nous, que fait-on ? Allons-nous devenir comme eux ? Avenue Victor Hugo, avenue de soleils et d'idiots. (p. 13)