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3.9/5 (sur 15 notes)

Nationalité : France
Biographie :

François Pardeilhan est un écrivain français, président du surgeon de Pau-Aquitaine de la Société Sherlock Holmes de France.

Passionné par l’œuvre d'Arthur Conan Doyle, mais aussi par l'histoire locale, et fort de la biographie de Sherlock Holmes tracée par William Baring-Gould, il s'est appliqué à rendre au public la jeunesse du fameux détective dans une quinzaine de nouvelles et romans.

Il est l'auteur de la série "La jeunesse de Sherlock Holmes à Pau" (4 tomes, 2003, 2004, 2005, 2006) parus aux éditions "Le pin à crochets".




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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Il fallait que je me le tienne pour dit : la solution est parfois tellement évidente qu'on ne la retient pas.
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— La semaine dernière encore, notre ami Lord Barthon se trouva bien embarrassé lorsqu'il dut justifier devant son épouse de la magnifique blague à tabac qu'il arborait fièrement. Ton fils [Sherlock] venait de l'en féliciter en disant qu'elle portait les mêmes armes que la comtesse Astrid avec qui il partage ses chevaux de course. Je pourrais te citer plusieurs cas où depuis la rencontre avec ton fils, nombre de nos connaissances ne sont plus revenues à la maison.


[Madame Violet Holmes, mère de Sherlock, se plaignant de la sale manie des observations et des déductions de leur rejeton à son père, Siger.]
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— Il y a d'autres manies qui j'espère lui passeront aussi mais j'en doute. [Siger Holmes]
— À quoi fais-tu allusion ? [Violet Holmes]
— Oh, à pas grand-chose ! À ses promenades solitaires qui le mènent on ne sait où, à ses expériences qu'il poursuit dans sa chambre avec le microscope du Lycée que lui a prêté un professeur. Jeannette a refusé à plusieurs reprises d'aller nettoyer sa chambre à cause des odeurs dues aux objets insolites qu'il examine. Je ne parle pas des articles de journaux, français ou anglais qu'il collectionne sous forme de piles, pas plus que les tenues de toutes sorte dont il s'affuble parfois, prétextant faire une surprise à un ami alors que je ne lui connais pas d'amis.
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[Sherlock, sans répondre à son père] — Quant à mère, elle n'a reçu qu'une lettre mais j'ai bien l'impression qu'elle est à l'origine de votre discussion. Le cachet atteste bien une provenance d'Angleterre. Si je n'avais pas noté l'attitude de père je ne me serais pas intéressé à l'écriture mais là je suis obligé de la considérer puisque ce courrier a quelque peu contrarié père. Par conséquent, il me semble reconnaître la forme particulière des majuscules et j'en conclus que l'oncle Barnett a écrit à mère, peut-être pour lui emprunter de l'argent ou autre demande encore plus gênante qui a mis mère dans tous ses états.
— Oh ! Mon fils, mais où étais-tu caché pour nous avoir observés de la sorte ?
— Mais nulle part, ma chère mère, ce ne sont que des déductions après avoir seulement regardé ce qui se trouve autour de moi.
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— Depuis maintenant plus de deux ans, c'est devenu une tradition que mon fils se livre systématiquement à une analyse détaillée de chaque visiteurs de cette maison. Je ne te ferai pas la liste de tous ceux que tu as contrariés avec tes remarques mal à propos sur leurs agissements, leurs fréquentations, leur passe-temps et tant d'autres choses. L'oncle Barnett arrive, tu l'observes franchement et tu ne trouves rien à dire. Voilà qui est très étrange et c'est pour cela que je m'inquiétais pour ta santé. [Siger à son fils, Sherlock]

— Ah mon père ! Dommage que tu ne puisses interpréter ce que tu voies car tu serais meilleur que moi. Mais tu as raison, en effet, je n'ai pas voulu parler de ce que j'avais observé sur l'oncle Barnett devant mère car elle aurait eu du chagrin.
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[Sherlock s'adressant à son père] — Père, il me semble que tu as égaré ton pince-nez et cela te pose quelques problèmes pour lire ton journal. Humm ! Raisonnons. Tu le poses toujours sur la table basse, là où Jeanette met les journaux. Comme à ton habitude, tu as dû prendre le Times que tu as commencé à lire, puis Jeanette a apporté le courrier que vous vous êtes partagés. Tu as lu le tien, c'est alors que mère t'as sans doute parlé d'un sujet qui t'a interpellé. Après un échange quelque peu tendu, tu t'es levé, toujours ton courrier en main, tu as marché dans la pièce tout en t'agitant, puis sur un geste d'agacement tu as enlevé ton pince-nez, tu es revenu vers le canapé avant de jeter ces lettres sur la table.
— Comment ?
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"Ce n'est pas mentir que de ne pas répondre à une question que l'on ne vous pose pas".
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— Cher Siger ! Quel plaisir de vous revoir. Je vous trouve une mine superbe. [Barnett, frère de Violet Holmes]
— Je ne dirais pas la même chose de vous !
— C'est vrai que Londres n'est pas conseillé pour son climat et ce n'est pas non plus l'endroit idéal pour prendre de belles couleurs.
— Tout dépend où l'on s'exhibe. L'intérieur de la très célèbre prison de New Gate est moins exposé au soleil que la fontaine de Trafalgar Square.
— Allons chez Siger, vous n'allez pas me reprocher quelques erreurs de jeunesse. Tout cela est du passé, aujourd'hui les choses ont bien changé pour moi.
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— Oh Siger ! Comme me le faisait remarquer mon frère, ce salon de jardin n'allait pas du tout avec notre intérieur, tandis que ce bureau convient parfaitement avec le style que tu as toujours voulu donner à cette maison.
— Bien sûr, cela ne fait que trois mois que M. Barnett est ici et déjà il s'est immiscé dans notre vie à tel point que c'est lui qui décide de ce qui va ou ne va pas dans notre maison.
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— Oh ! Je suis contente de te voir. Londres ne te réussit pas, tu es bien pâle ! [Violet Holmes à son frère, Barnett]
— C'est ce que j'ai dit à ton frère, c'est vrai que le manque de soleil ajouté à l'humidité des murs de certaines pensions, cela n'arrange pas les choses.
[Siger parlant à son épouse et lançant une pique à son beauf']
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