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Citations de François Walthéry (83)


... vous prendrez bien un verre monsieur le steward... Mon crâne !! ooooh! Et pourquoi cette neige fait-elle tant de bruit en tombant?
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Le décollage étant imminent veuillez prendre place, attacher vos ceintures et ÉTEINDRE VOS CIGARETTES.

Eh! C'est une très vieille bande dessinée. Aujourd'hui, on ne voit plus ça, de nos jours, des cigarettes dans les BDs.
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- la vie c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l,
équilibre.
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Si c’est pour être traitée de cette manière par des filles aussi jolies, je veux bien qu’on me kidnappe tous les jours.
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Quelle joie de vous rencontrer ! Je crois que pour la commodité de nos rapports, nous nous en tiendrons au prénom d’Isablle. N’est-ce pas Herr Auberst ? Marie-Ange vous a dit que nous nous intéressions à vous ou du moins à l’étrange expérience que vous avez vécue. Mais pour que vous sachiez ce à quoi vous avez été mêlée, effectuons un bond dans le temps. Depuis plusieurs décennies, le bon docteur Markus travaillait comme chercheur au sein de l’hôpital universitaire Saint-Jean. Relégué d’étage en étage, il s’était retrouvé à la morgue et avait fini par squatter plusieurs locaux désaffectés qui lui étaient contigus. Markus faisait partie du folklore de l’hôpital. Tout le monde le connaissait sans le connaître, et personne ne savait plus vraiment sur quoi il travaillait. Une chose était certaine, c’était lui le plus gros consommateur d’animaux de laboratoire de la maison. Un jour, il y a dix ans, après un dîner semestriel d’anciens, Markus conta à un très vieil ami, sa dernière expérience, le transfert de cerveaux de fourmi. Cet ami, le dirigeant du groupe que je représente, le félicita même, et lui donna quelques deniers pour qu’il poursuive ses si passionnantes recherches. N’ayant pas perçu, l’ironie de son interlocuteur, Markus se mit à travailler de plus belle. Et quelques années plus tard, il recommença son expérience avec deux souris, deux cobayes, deux chats, deux veaux, toutes réussirent. Prévenu, son vieil ami devint soudain beaucoup plus intéressé et me chargea d’offrir des fonds illimités à Markus pour qu’il tente d’étudier si la chose était possible avec des êtres humains. Markus, qui ne s’était jamais beaucoup inquiété d’éthique, accepta avec joie. Les animaux de l’hôpital poussèrent un Ouf de soulagement. À présent, c’était la morgue qui lui fournissait sa matière première. Durant cinq ans, il poursuivit ses expériences sur des cadavres, et mêmes sur quelques spécimens bien vivants, fournis par nos soins… Sans succès. Comme Markus n’arrivait pas à transplanter un cerveau d’homme dans la boîte crânienne d’un autre homme, il imagina que la chose serait peut-être possible si le récipiendaire était une femme. C’était son dernier espoir. Le groupe qui estimait avoir assez investi dans ce projet menaçait de lui couper les vivres. Il obtint un ultime sursis. L’occasion se présenta un soir où on lui amena quasi simultanément les cadavres d’une jeune femme, Isabelle de Blaigny, et d’un homme, Antoine Auberst.
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Pour Antoine Aubert, une nouvelle vie commençait… Avec elle, de nouveaux horizons, de nouvelles sensations.
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WALTER: - Dormir ou pas, autant ne pas dormir sans dormir que de ne pas dormir en essayant de dormir... Vous me suivez ?
NATACHA: - Je fais ce que je peux !
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Tu as devant toi la dernière colonie atlante.
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WALTER: - Bon ! Maintenant, ça suffit ! Asseyez-vous à côté de moi et bouclez-là surtout !
NATACHA: - PARDON ?
WALTER: - Je parle de votre ceinture ! (p.11)
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- Ne soyez pas insolente ! Et n'esquivez pas la réponse ! Pourquoi vous êtes vous soustraite à la surveillane de la police ?
- Il est très désagréable de se sentir suivis... Surtout pour une femme.
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Qui connaît le labyrinthe intérieur, peut se rendre où il veut dans la colonie.
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Mince de mince ! On se croirait plongé dans un décor dément pour une superproduction de Cécil B. de Mille.
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Si elles font cela dès le premier jour, qu’est-ce qu’elles nous réservent pour la suite ?
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C’est affreux !!! Je suis une femme !
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Le professeur Markus travailla toute la nuit, s’affairant sur les deux corps qu’il avait placés côte à côte dans sa cellule d’opération. On l’a vu ouvrir les deux boîtes crâniennes, retirer le cerveau mort de la jeune fille pour le remplacer par le cerveau intact de l’homme. Refermer soigneusement la tête de la morte, la recoudre, appliquer des onguents sur ses cicatrices, lui brancher des appareils compliqués sur la tête, autour du cœur.
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Ce jour-là ne devait pas être un jour très différent des autres pour Antoine Aubert, modeste employé de la COFRAS, la compagnie française d’assurance. Classer les dossiers, tenir à jour les échéanciers, répondre au courrier. Son travail, c’était la routine, mais il s’en accommodait très bien. En réalité, Antoine Aubert n’avait qu’un seul problème, mais il était de taille… Les femmes ! Les femmes, ce n’était pas ce qui manquait à la COFRAS. Il n’y avait même pratiquement que ça. Antoine passait le plus clair de son temps à les observer, comparant mentalement les avantages des unes et des autres. Son regard s’attardait sur les seins qu’il aimait haut perchés, sur les fesses qu’il aimait bien fermes, et sur les jambes qu’il aimait interminables. Bref, à la COFRAS, Antoine était sans doute l’employé qui avait l’emploi du temps le plus chargé.
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Walter: - ... L'homme sur l'âne, la femme à pied... Ce pays me plaît !
Natacha: - Stupide animal ! (p.16)
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Walter s'en est tiré, et l'autre se trouve ridicule devant la tribu ! Dommage que le ridicule ne tue pas !
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- Monsieur ! Monsieur ! où êtes-vous ?
- Ici au ciel Mademoiselle Natacha !
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Ah! ce que femme veut, Dieu le veut !
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