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Critiques de François de Smet (15)
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La petite Bédéthèque des Savoirs, tome 16 : Les..

Il s'agit d'une bande dessinée de 68 pages, en couleurs. Elle est initialement parue en 2017, écrite par François de Smet, dessinée et mise en couleurs par Thierry Bouüaert. Elle fait partie de la collection intitulée La petite bédéthèque des savoirs, éditée par Le Lombard. Cette collection s'est fixé comme but d'explorer le champ des sciences humaines et de la non-fiction. Elle regroupe donc des bandes dessinées didactiques, associant un spécialiste à un dessinateur professionnel, en proscrivant la forme du récit de fiction. Il s'agit donc d'une entreprise de vulgarisation sous une forme qui se veut ludique.



Cette bande dessinée se présente sous une forme assez petite, 13,9cm*19,6cm. Elle s'ouvre avec un solide avant-propos de David Vandermeulen de 9 pages, plus un quart de page de notes. Il commence par évoquer le roi Cyrus le grand (-600 ou -576, à -530), fondateur de l'empire perse, et auteur de la charte, dite Cylindre de Cyrus, présentée par l'ONU comme la première charte des droits de l'homme. Il évoque ensuite le code de loi d'Hammourabi (-1810 à -1750), édictant lui aussi des droits pour les citoyens. Il retrace la diffusion des idées de la charte de Cyrus jusqu'à l'empire romain reprenant plusieurs droits sous forme de loi dite naturelle, puis dans la constitution de Médine (622), la Grande Charte (Magna Carta, treizième et quatorzième siècle) de Jean sans Terre, le Bill of Rights (1689) anglais, jusqu'à la Déclaration d'indépendance des États-Unis d'Amérique en 1776. Puis il évoque le vingt-et-unième siècle et la remise en cause de certains articles comme celui sur la torture, ou le fait que tous les états du monde n'aient pas signé cette déclaration universelle.



La bande dessinée commence par le narrateur interpellant le lecteur, et expliquant qu'il est la Déclaration universelle des droits de l'homme s'adressant directement à lui, à l'instar du texte d'un livre qui parle à son lecteur. La Déclaration rappelle sa naissance officielle, c’est-à-dire sa signature le 10 décembre 1948, au Palais de Chaillot à Paris. Elle passe en revue quelques-uns des signataires et les espoirs qu'ils placent dans ce texte pour éviter les horreurs de la seconde guerre mondiale aux générations futures. Elle évoque aussi les cas particuliers des états qui se sont abstenus lors du vote : l'Afrique du Sud et le régime e l'apartheid, l'Arabie Saoudite et son refus de reconnaître le droit de changer de religion ou l'égalité entre femme et homme, et les pays de l'Est s'alignant sur le choix de l'URSS. Puis la Déclaration revient sur sa gestation : la composition d'un comité de rédaction comprenant 18 membres dont les 2 principaux artisans Eleanor Roosevelt (1884-1962) et René Cassin (1887-1976), juriste, idéaliste, juif. Elle passe ensuite à son véritable lieu d'origine : les camps d'extermination allemands de la seconde guerre mondiale.



Dans son avant-propos, David Vandermeulen braque la lumière sur les proto déclarations des droits de l'homme, sur leur ancienneté, leurs limites, mais aussi les circonstances de leur existence. Le lecteur découvre (ou retrouve) ainsi ces textes ayant établi des droits pour les citoyens, des catégories d'individus qui ne recouvraient pas tous les êtres humains, des textes dont l'universalité se limitait au royaume ou à l'empire qui les avaient promulgués. Il fait le lien entre ces textes antiques et la démocratie grecque, imbriquant ainsi les 2 notions comme allant de pair. Le lecteur constate à chaque exemple que la conception de ces textes se fait lors de périodes de guerre ou juste après des conquêtes sanglantes, comme si les vainqueurs effectuaient une promesse pour apaiser les peuples conquis ou soumis. Il termine son texte en rappelant que tous les états n'ont pas ratifiés cette déclaration et que certains droits restent des vœux pieux, voire connaissent un recul dans leur application, en prenant comme exemple la proscription de la torture, ou le droit d'asile. Le lecteur peut être un peu surpris de ne voir la Déclaration universelle des droits de l'homme (en abrégé DUDH) mentionnée une seule fois, mais en fait le texte de David Vandermeulen remplit parfaitement son office de mise en contexte de l'exposé qui suit.



En découvrant la première page de bande dessinée, le lecteur est agréablement surpris de voir que les auteurs ont trouvé un mode de présentation originale. Par comparaison avec la plupart des autres auteurs des ouvrages de cette collection, ils ne se mettent pas en scène pour amener un peu de vie dans leur exposé. Ils choisissent d'introduire un personnage qui n'est autre que la Déclaration elle-même. De cette manière, ils respectent le cadre d'un exposé qui proscrit le récit de fiction, tout en donnant à entendre la voix d'un narrateur. Ce procédé narratif amène une forme de rythme à l'exposé, et permet de glisser un jugement de valeur bien senti de temps à autre. Les auteurs n'abusent pas de ces remarques, et les placent à bon escient, en commençant par faire le point d'où en sont quelques pays en matière des droits de l'homme, une quarantaine d'années après la promulgation de la Déclaration. François de Smet est l'auteur d'ouvrages comme Les droits de l'homme. Origines et aléas d'une idéologie moderne et Reductio ad hitlerum : Une théorie du point Godwin, établissant sa légitimité à écrire un ouvrage sur la DUDH. Le lecteur se rend vite compte que sous des dehors de sympathique monologue, la narration passe en revue le contexte de la parution de la DUDH, son historique, les problématiques de sa rédaction pour satisfaire les différentes nations, et la réalité de son application. L'auteur épate par sa capacité à rendre compte de la complexité de l'entreprise, à étayer son propos par des faits concrets et précis, et à conserver une forme discursive rigoureuse. Alors que le lecteur pouvait craindre un exposé pesant et indigeste, il prend plaisir à un ouvrage vivant et alerte.



Le lecteur prend mieux la mesure du travail de mise en forme s'il a déjà lu d'autres ouvrages de la collection. Au vu des qualifications des auteurs, il a pu avoir l'impression qu'ils remettent un texte tout ficelé, et que le dessinateur choisi s'arrache les cheveux pour trouver des solutions afin de le mettre en images, sans montrer ce que dit déjà le texte, sans tomber dans des illustrations ponctuelles plus ou moins dispensables. Thierry Bouüaert réalise des dessins de nature descriptive et réaliste. Les contours des formes sont assez assurés, avec des petits traits secs à l'intérieur pour rendre compte des textures. Dès la première page, le lecteur pet apprécier un premier apport des dessins : la représentation reconnaissable des lieux évoqués par le texte. Cela n'a pas simplement pour effet sur le lecteur de voir le lieu évoqué dans le texte, mais aussi de lui donner de la consistance, de plus ancrer les mots dans le réel. Ce n'est pas la même chose que d'évoquer les camps de concentration, que de revoir la terrible inscription Arbeit macht frei.



À partir de la septième page, le lecteur apprécie le deuxième plus apporté par les dessins : la représentation des personnages historiques comme Eleanor Roosevelt, René Cassin, Adolf Heichmann (1906-1962) et Hannah Arendt (1906-1975) à son procès à Nuremberg en 1960, Charles Malik (1906-1987), ou encore Peng-Chun Chang (1892–1957). En les mettant en scène dans des discussions sur la rédaction d'un article, dans des activités banales comme de prendre le thé ou le café, l'artiste les fait s'incarner comme des êtres humains normaux accomplissant leur travail. Thierry Bouüaert se montre tout aussi convaincant lorsqu'il reproduit des images d'archives de guerre, ou qu'il évoque une époque d'un passé plus lointain comme Francisco de Vitoria (1483-1546) s'interrogeant sur le statut des indiens du Nouveau Monde. Avec les dessins, l'exposé gagne en concret et en consistance de la reconstitution historique. Il s'éloigne d'une narration théorique pour gagner en humanité. S'il a déjà lu d'autres ouvrages de cette collection, le lecteur en ressort encore plus impressionné par la capacité de l'artiste à composer des suites de cases relevant de la narration séquentielle, et pas simplement d'une suite de tableaux illustrant le cartouche de texte.



Éventuellement, le lecteur peut être un peu dérouté par le fait que François de Smet ne suive pas un ordre chronologique, ou qu'il ne passe pas en revue les articles de la DUDH qu'il a choisis, dans l'ordre numérique. Rapidement il se rend que la construction un peu plus complexe de l'ouvrage permet à la fois de développer les enjeux et les contraintes d'une rédaction consensuelle de certains articles, mais aussi des thématiques transversales sur plusieurs articles. Il apprécie de découvrir par l'exemple la difficulté d'évoquer la protection sociale en tant que droit, en produisant un texte qui en concilie les approches capitaliste et communiste, dans l'article 22. L'auteur sait faire ressortir toute la sensibilité de la question du droit à quitter son pays (article 13) et du droit d'asile dans l'article 14. En citant quelques articles bien choisis, l'auteur met en lumière la difficulté du consensus, les atrocités de l'Histoire qui ont amené à les rédiger, et par moment les valeurs sous-jacentes de la société de l'époque, comme pour l'alinéa 3 de l'article 16 qui indique que la famille est l'élément naturel et fondamental de la société.



Alors qu'il se prépare à un texte docte et ardu illustré avec peine par un artiste héritant d'un texte tout bouclé, le lecteur découvre une vraie bande dessinée, rythmée et intéressante visuellement. Il bénéficie d'une présentation originale de la déclaration universelle des droits de l'homme, non exhaustive, nourrie par son contexte, et par les thèmes qui la sous-tendent comme la propension sans cesse renouvelée de l'humanité à se détruire, l'exploitation des plus faibles, la dimension universelle de sa conception, les convictions politiques irrésolubles entre l'Est et l'Ouest, mais aussi entre le Nord et le Sud, et le fait indiscutable qu'il n'existe qu'une seule race humaine dont le berceau est en Afrique. 5 étoiles pour une présentation extraordinaire de la déclaration universelle des droits de l'homme.
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Reductio Ad Hitlerum

Bon alors j'ai essayé, hein. Mais je n'arrive absolument pas à lire ce livre. C'est un subtil mélange entre "arrivée à la fin de la page, je ne sais pas ce que j'ai lu" et l'impression de relire constamment la même chose.

Parfois je me dis : ah là je comprends ! et la phrase d'après j'ai décroché. Pourtant les phrases sont simples, et en général je ne suis pas plus stupide qu'une autre, mais là je n'imprime pas. Je dois manquer de concentration...

Donc à retenir : lire ce livre quand on a la concentration nécessaire à sa lecture.

J'y reviendrais ! je n'ai pas dit mon dernier mot !
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Reductio Ad Hitlerum



Un court essai, très clair, qui nous rappelle les fragilités de notre démocratie. Je cite une partie de la note de l’éditeur « Et si notre obsession pour le souvenir de la Shoah et la limite qu’elle pose à la liberté d’expression n’étaient rien d’autre que le signe de notre incapacité contemporaine à admettre le mal ? ». Ne pas l’admettre, c’est peut-être, oui peut-être, n’en déplaise à l’auteur qui nous annonce le pire, s’y engouffrer de nouveau, sous l’impulsion de « la meute », de la loi du plus fort qui nous promet une « Cohérence » qui rassure, repose, mais qui tue alors notre démocratie qui a besoin de débats, de doutes.

150 pages très intelligentes et compréhensibles, qui me donnent d’ailleurs une furieuse envie de lire, enfin, les essais d’Anette Wieviorka.





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Lien : http://www.babelio.com/monpr..
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Reductio Ad Hitlerum

Ce livre à la fois philosophique, sociologique et comportementale est très intéressant. L'auteur a su lier un analyse complexe à des exemples et des citations concrets, judicieusement choisis pour argumenter le propos. Les thèmes abordés sont entre autres la liberté d'expression, la liberté d'action, le racisme, l'influence, le libre arbitre, le respect ...
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La petite Bédéthèque des Savoirs, tome 16 : Les..

Une petite BD qui se lit assez rapidement.

Le livre commence par quelques pages resituant le contexte : les différentes lois et déclarations au cours de l'histoire de l'Humanité qui ont précédé la rédaction des Droits de l'Homme.

La BD en elle-même est assez rapide à lire. Elle nous explique certains des principaux articles repris dans la déclaration, ainsi que le contexte historique qui leur a permis de voir le jour.

C'est une bonne introduction à un sujet complexe, qui mérite d'être approfondi. Pour cela, les auteurs mettent à la disposition du lecteur une bibliographie.
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Lost ego

L'auteur analyse dans cet essai philosophique les caractéristiques de l'esprit humain soumis par l'évolution de la société et la sélection naturelle à simplifier le monde:

illusion d'une unicité du soi pour établir une perception cohérente de soi. Le cerveau et la conscience simplifient le monde pour le rendre cohérent.

tendance à la conformité, au dualisme, au récit, raisonnement simpliste causal (une cause entraine un effet) pour expliquer le monde et ses valeurs. L'hémisphère cérébrale gauche interprète (pp 91) pour raconter une histoire simple qui explique le monde (pp 99).

oubli du nombre immense d’occurrences nécessaires pour expliquer les phénomènes (idée reprise du sociologue Gérald Bronner, cité p.62) et plus généralement oubli du caractère fondamental mathématiquement chaotique du monde et du soi.



Quelques citations du livre: « Ego est en tension perpétuelle entre sa nature d'être conforme et sa culture d'être libre: le dualisme est une porte de sortie logique pour gérer ce nœud gordien »p.37; « les scientifiques sont d'accord pour considérer que le dualisme entre corps et esprit n'a plus lieu d'être » pp 49; « les neurosciences nous dépeignent un flux, un chaos au sein duquel ce que nous appelons « conscience » n'est qu'une partie négligeable qui n'a rien à voir avec les causes réelles de nos actions » pp 70. « La conscience est une construction mentale que le cerveau construit comme sas entre deux chaos: celui de nos propres neurones et celui du monde » pp90 et 98. « Il est plus exigeant psychiquement de se forcer à ne pas interpréter » p.92. « Le libre arbitre serait une synthèse narrée par l'hémisphère gauche » p.93. « La conscience...est affaire de récit »p,100. « L'esprit humain crée la causalité comme arme pour maitriser le chaos...La première utilité est de favoriser la survie en ordonnant le chaos, en faisant de ce chaos un objet de fiction » p.99. « les replis identitaires consécutifs d'une fuite des individus souhaitant échapper à cette contingence »p.103. « Que le pouvoir d'achat et l'identité se soient hissés comme enjeux politiques et électoraux prépondérants démontre la fragilité irrémédiable des démocraties, dont le valeurs ne suffisent pas »p.111. » « mais la contingence l'emportera toujours sur la longueur »p.113. « Il s'agit d'accepter que la liberté d'expression est la liberté de conviction et non l'inverse » p. 116. « Il n'y a nulle raison de désespérer – mais simplement occasions de penser et de créer, comme dirait Spinoza, avec une plus juste perception de nos limites » p.105

La première partie du Livre est moins intéressante et il est souhaitable d'aller jusqu'au bout du livre qui est assez court (129 pages) avec une seconde partie plus riche en réflexion.

Ce livre a reçu le "grand prix du livre sur le cerveau" décerné par la société française de neurologie.
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Être parent, c'est...

Encore un petit livre édité par Yapaka qui est une introduction, un début de piste pour réfléchir, faire conscientiser aux différents enjeux de la parentalité, des relations parents-enfants. Les concepteurs sont au clair avec leur "produit", Ce n'est qu'un début de...

Parfait pour les salles d'attente.

Le livre est un ensemble de mini-thématiques que peuvent rencontrer les parents, avec chaque fois un petit texte qui détaille un peu celle-ci, suivi de mots, de réflexions de parents et d'enfants. Des réflexions parlantes. Qui résonneront, l'espère-t-on avec celles du lecteur.

Le livre se termine avec un ensemble d'adresses de professionnels, d'associations, etc. bien utile.





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La Clef écossaise

Pour qui souhaite en apprendre davantage sur les origines de la Franc-Maçonnerie, ses fondements, ses valeurs, ses influences... voici l'ouvrage idéal. S'appuyant sur les "découvertes" issues d'une enquête minutieuse et de travaux de recherches récents, l'auteur nous invite ici à nous plonger dans l'histoire de cette célèbre société "discrète" - plutôt que "secrète".



Le propos, clair et agréable, peut s'adresser à tou.te.s, maçon ou profane. En revanche, pour les curieux, rappelez-vous ce que l'on dit souvent : ce qui se passe derrière les portes reste derrière les portes ! Aussi, ne comptez donc pas sur ce livre pour vous dévoiler ce je-ne-sais-quoi que certain.e.s semblent rechercher avidement.



Une lecture riche et passionnante !



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Reductio Ad Hitlerum

Ce livre a l'air de premier abord simple, un essai sur le point godwin, pas si long, écrit simplement. Mais lorsqu'on s'y plonge, on y découvre deux choses : ce livre est fascinant, et il est bien plus dense qu'il n'y paraît. Autant vous prévenir tout de suite, si le sujet vous intéresse, il nécessitera au moins une relecture!



L'auteur y aborde le sujet du point godwin en s'appuyant sur des exemples très étendus, qui vont de l'Histoire au monde contemporain, on y parle de grands auteurs comme de séries actuelles, et cela permet à tous de s'y retrouver. Et on comprends, ou l'on s'interroge encore plus sur cette façon qu'a le monde occidental de s'être trouver des "méchants ultimes" qui nous servent à tout et n'importe quoi.



Le souhait que l'on pourrait avoir avec ce livre? Qu'il y ait une suite sur les cultures autres : comment gère-t-on l'arrêt des débats en Chine, par exemple, eux qui n'ont pas ce "grand méchant d'Hitler"?
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La petite Bédéthèque des Savoirs, tome 16 : Les..

Le philosophe François De Smet et le dessinateur Thierry Bouüaert signent un ouvrage pédagogique, philosophique et passionnant sur les droits de l’homme.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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La petite Bédéthèque des Savoirs, tome 16 : Les..

La démonstration de De Smet et Bouüaert est impressionnante de pertinence et d'interrogation sur ce que nous sommes et sur ce que nous voulons construire autour de nous.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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La petite Bédéthèque des Savoirs, tome 16 : Les..

Comme toujours très intéressant mais il m'a un peu moins dans sa conception que d'autres ouvrages de la collection. Je n'ai rien à redire sur le contenu, par contre je trouve l'exploitation du sujet un peu confuse, la trame est un peu plus fouillis où, par exemple, pour la prostitution on suivait un ordre chronologique ou pour le féminisme on avait un ordre thématique clair, ici ce n'est pas le cas. J'ai trouvé aussi le dessin moins agréable mais ça c'est évidemment un avis purement personnel.
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La petite Bédéthèque des Savoirs, tome 16 : Les..

Un bon résumé d’une question complexe ; peut-être aurait-il été préférable de circonscrire le propos pour mieux l’approfondir.
Lien : http://www.bdgest.com/chroni..
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La petite Bédéthèque des Savoirs, tome 16 : Les..

Un ouvrage pédagogique passionnant sur les droits de l’homme.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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Reductio Ad Hitlerum

Selon l'auteur, notre obsession pour le souvenir de la Shoah et la limite qu'elle pose désormais à la liberté d'expression ne sont rien d'autre que le signe de notre incapacité contemporaine à admettre et à comprendre le mal.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
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