A ses parents qui l'avaient regardée partir sans autre bagage qu'un amour étranger, la Maddalena avait promis de revenir un Noël. Entre Enna et Bruxelles, les lettres échangeaient leurs promesses et leurs larmes. Puis les promesses s'étaient espacées, les larmes s'étaient taries. Mado Simoni n'était plus jamais retournée au pays. Plus osé.